Treignac
















































Les premières habitations furent construites "aux Eglises" (lieu-dit à 1,5 km env. du centre) autour des église de St Martin, St Léobon, St Jean (lieu actuel du vieux cimetière). La fontaine St Méen, la Font des malades (rue du Trech), les deux édifices à droite de l'entrée du cimetière sont les seuls vestiges de cette époque. Le château bâti à l'époque de la féodalité (premier donjon construit vers l'an 1000) fut placé sur un énorme piton rocheux, presque inaccessible, dans une boucle de la Vézère dénomée la Presqu'île. Le chateau a été entièrement détruit à la révolution. Dès l'an 1284, Treignac est déjà ville libre. C'est alors que naît la ville murée, dont il reste la porte Chabirande (voir circuit du patrimoine). Les remparts ont été détruits au début du XIXème siècle pour permettre la construction de la route nationale. Ayant subi plusieurs sacs au moment des guerres seigneuriales et des guerres de religion, la ville fut reconstruite à l'époque Renaissance comme en témoigne de nombreux édifices. Au milieu du XIXème siècle, le pont Finot (1824), le pont Bargy (1840) ont ouvert Treignac vers l'extérieur. Les fontaines qui furent toujours un des ornements de la ville, ont apporté aux habitants salubrité et confort. Des places (places de la République, du Champ de Foire et de la Gare) ont été aménagées. Des rues se sont ouvertes, et le 20 juillet 1904, la ligne de chemin de fer Seilhac-Treignac a été inaugurée (supprimée en 1970). De nos jours, des quartiers résidentiels se sont développés autour de la ville tandis que les maisons anciennes, au coeur de la cité, font l'objet de restauration et attirent de nombreux étrangers.

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